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Présentation

Ce roman, écrit en 1858, se situe en Vendée, dans les années 1830, pendant la tentative de restauration menée par la duchesse de Berry.

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- Chapitre I - L'aide de camp de Charette
- Chapitre II - La reconnaissance des rois
- Chapitre III - Les deux jumelles
- Chapitre IV - Comment, en venant pour une heure chez le marquis de Souday, Jean Oullier y serait encore, si le marquis et lui ne fussent pas morts depuis dix ans
- Chapitre V - Une portée de louvarts
- Chapitre VI - Un lièvre blessé
- Chapitre VII - M. Michel
- Chapitre VIII - La baronne de la Logerie
- Chapitre IX - Galon-d'or et Allégro
- Chapitre X - Où les choses ne se passent pas tout à fait comme les avait rêvées le baron Michel
- Chapitre XI - Le père nourricier
- Chapitre XII - Noblesse oblige
- Chapitre XIII - La cousine de cinquante lieues
- Chapitre XIV - Petit-Pierre
- Chapitre XV - Heure indue
- Chapitre XVI - La diplomatie de Courtin
- Chapitre XVII - Le cabaret d'Aubin Courte-Joie
- Chapitre XVIII - L'homme de la Logerie
- Chapitre XIX - La foire de Montaigu
- Chapitre XX - L'émeute
- Chapitre XXI - Les ressources de Jean Oullier
- Chapitre XXII - Apporte, Pataud ! Apporte
- Chapitre XXIII - à qui appartenait la chaumière
- Chapitre XXIV - Comment Marianne Picaut pleura son mari
- Chapitre XXV - Où l'amour prête des opinions politiques à ceux qui n'en ont pas
- Chapitre XXVI - Le saut de Baugé
- Chapitre XXVII - Les hôtes de Souday
- Chapitre XXVIII - Où le marquis de Souday regrette amèrement que Petit-Pierre ne soit pas gentilhomme
- Chapitre XXIX - Les Vendéens de 1832
- Chapitre XXX - L'alarme
- Chapitre XXXI - Mon compère Loriot
- Chapitre XXXII - Où le général mange un dîner qui n'avait pas été préparé pour lui
- Chapitre XXXIII - Où la curiosité de maître Loriot n'est pas précisément satisfaite
- Chapitre XXXIV - La chambre de la tourelle
- Chapitre XXXV - Qui finit tout autrement que ne s'y attendait Mary
- Chapitre XXXVI - Bleu et blanc
- Chapitre XXXVII - Qui prouve que ce n'est point pour les mouches seules que les toiles d'araignée sont perfides
- Chapitre XXXVIII - Où le pied le plus mignon de France et de Navarre trouve que les pantoufles de Cendrillon le chausseraient moins bien que des bottes de sept lieues
- Chapitre XXXIX - Où Petit-Pierre fait le meilleur repas qu'il ait fait de sa vie
- Chapitre XL - L'égalité devant les morts
- Chapitre XLI - La perquisition
- Chapitre XLII - Où Jean Oullier dit ce qu'il pense du jeune baron Michel
- Chapitre XLIII - Où le jeune baron Michel devient l'aide de camp de Bertha
- Chapitre XLIV - Les lapins de maître Jacques
- Chapitre XLV - Du danger qu'il peut y avoir à se trouver dans les bois en mauvaise compagnie
- Chapitre XLVI - Où maître Jacques tient le serment qu'il a fait à Aubin Courte-Joie
- Chapitre XLVII - Où il est démontré que tous les juifs ne sont pas de Jérusalem, et tous les Turcs de Tunis
- Chapitre XLVIII - Maître Marc
- Chapitre XLIX - De quelle façon on voyageait dans le département de la Loire-Inférieure, au mois de mai 1832
- Chapitre L - Un peu d'histoire ne gâte rien
- Chapitre LI - Où Petit-Pierre se décide à faire contre fortune bon cœur
- Chapitre LII - Comment Jean Oullier prouva que, lorsque le vin est tiré, il n'y a rien de mieux à faire que de le boire
- Chapitre LIII - Où il est expliqué comment et pourquoi le baron Michel avait pris le parti d'aller à Nantes
- Chapitre LIV - Où la brebis, croyant rentrer au bercail, tombe dans une chausse-trape
- Chapitre LV - Où Trigaud montre que, s'il eût été à la place d'Hercule, il eût probablement accompli vingt-quatre travaux au lieu de douze
- Chapitre LVI - La clef des champs
- Chapitre LVII - Où Mary est victorieuse à la façon de Pyrrhus
- Chapitre LVIII - Où le baron Michel trouve, pour s'appuyer, un chêne au lieu d'un roseau
- Chapitre LIX - Les derniers chevaliers de la royauté
- Chapitre LX - Où Jean Oullier ment pour le bien de la cause
- Chapitre LXI - Où le geôlier et le prisonnier se sauvent ensemble
- Chapitre LXII - Le champ de bataille
- Chapitre LXIII - Après le combat
- Chapitre LXIV - Le château de la Pénissière
- Chapitre LXV - La lande de Bouaimé
- Chapitre LXVI - Où la maison Aubin Courte-Joie et compagnie, fait honneur à sa raison sociale
- Chapitre LXVII - Où les secours arrivent d'où on ne les attendait guère
- Chapitre LXVIII - Sur la grande route
- Chapitre LXIX - Ce qu'il advint de Jean Oullier
- Chapitre LXX - Les batteries de maître Courtin
- Chapitre LXXI - Où Mme la baronne de la Logerie, en croyant faire les affaires de son fils, fait celles de Petit-Pierre
- Chapitre LXXII - Marches et contremarches
- Chapitre LXXIII - Où les amours de Michel semblent commencer à prendre une meilleure tournure
- Chapitre LXXIV - Comme quoi il y a pêcheur et pêcheur
- Chapitre LXXV - Interrogatoire et confrontation
- Chapitre LXXVI - Où l'on retrouve le général et où l'on voit qu'il n'était pas changé
- Chapitre LXXVII - Où Courtin est encore une fois désappointé
- Chapitre LXXVIII - Où le marquis de Souday drague des huîtres et pêche Picaut
- Chapitre LXXIX - Ce qui se passait dans deux maisons inhabitées
- Chapitre LXXX - Où Courtin touche enfin du bout du doigt à ses cinquante mille francs
- Chapitre LXXXI - L'auberge du « Grand Saint Jacques »
- Chapitre LXXXII - Les deux Judas
- Chapitre LXXXIII - Oeil pour oeil, dent pour dent
- Chapitre LXXXIV - Les pantalons rouges
- Chapitre LXXXV - La louve blessée
- Chapitre LXXXVI - La plaque de cheminée
- Chapitre LXXXVII - Trois cœurs brisés
- Chapitre LXXXVIII - Le bourreau de Dieu
- Chapitre LXXXIX - Où l'on voit qu'un homme qui a cinquante mille francs sur lui peut quelquefois être fort gêné
- Epilogue
© Société des Amis d'Alexandre Dumas
1998-2010
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